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En juin 2025, la tendance générale sur le marché immobilier français n'est plus à une baisse généralisée des prix, mais plutôt à une stabilisation, voire une légère reprise. Plusieurs sources s'accordent sur ce constat :
Stabilisation et légère hausse des prix : Les derniers chiffres de l'INSEE et d'autres baromètres (LPI-iad, Mon Chasseur Immo, Immonot) indiquent une stabilisation, et même une légère augmentation des prix dans l'ensemble de la France, après une période de baisse en 2023 et 2024. Pour les maisons, la hausse est même plus marquée (+2% pour LPI-iad).
Reprise progressive des transactions : Le volume des ventes de logements anciens continue d'augmenter, ce qui suggère une reprise d'activité sur le marché. Les acteurs du secteur sont globalement positifs et prévoient une augmentation des transactions pour 2025.
Baisse des taux d'intérêt de la BCE : La Banque Centrale Européenne (BCE) a continué de baisser ses taux directeurs en juin 2025, les ramenant à 2.15%. Cette politique monétaire accommodante vise à soutenir l'activité économique et rend les crédits immobiliers plus attractifs, augmentant ainsi le pouvoir d'achat des ménages.
Taux de crédit immobilier stables ou en légère baisse : En conséquence des décisions de la BCE, les taux de crédit immobilier en France se sont stabilisés, voire ont très légèrement baissé en juin 2025. Ils se situent en moyenne autour de 3.20% pour les meilleurs profils.
Disparités régionales : Bien que la tendance générale soit à la stabilisation ou à la légère hausse, des variations existent selon les régions et les villes. Paris, après une période de baisse, pourrait connaître une légère croissance. Certaines villes de province continuent de voir leurs prix baisser (ex: Nantes, Nice), tandis que d'autres progressent (ex: Bordeaux, Marseille, Toulouse).
En résumé, si certains acheteurs espéraient une baisse prolongée des prix, il semblerait que cette phase soit révolue en juin 2025. Le marché semble retrouver un certain équilibre, avec des prix qui se stabilisent et des conditions de crédit plus favorables, ce qui encourage de nouveau les projets d'acquisition immobilière.
